Asilah est une jolie petite ville fortifiée située à 45km au sud de Tanger aux ruelles blanche et bleu. Elle fut pendant longtemps un territoire espagnol. La vieille ville est entourée de remparts portugais du XV ème siècle. Son port et sa médina rénovée ont beaucoup de charme. Chaque année, un festival d'art et de culture à lieu en août.

 Après deux jours de route au départ de Biarritz via « Burgos – Vitoria – Madrid – Jaen – Grenade – Malaga,  j'ai embarqué à Algésiras sur un bateau qui m'a menée à Tanger Port au coucher du soleil.

Durant ce trajet, j'ai aimé :

Les panneaux en arabe 100 km aprés San Sebastien « Algésiras » et à Madrid

Les taureaux en métal et les moulins de Don Quichotte sur la route après Madrid

Les paysages montagneux d'Andalousie

La chaleur qui tapait sur le pare-brise en Andalousie

L'apparition de la mer vers Malaga

La rocade de Grenade (trop facile après celle de Madrid)

Les efforts des Andalous pour comprendre mon pauvre niveau en espagnol

Ma pause « Tortilla patata » avant de quitter l'Espagne

Le premier « Salamalekoum » du routier d'Agadir en attendant le bâteau à Algésiras

Arrivee au coucher du soleil a Tanger

J'ai beaucoup moins aimé :

Le grattage du pare-brise au départ du Pays Basque

Les paysages tout enneigés et froids après Burgos

Le resto de l'hôtel « Los Arcos » après Madrid avec le petit déjeuner qui fait vraiment pitié!

Le vent très froid à la douane de Tanger Port

Ma déperdition de nuit sur l'autoroute marocaine...je n'ai jamais trouvé mon hôtel mais la suite dans le prochain article...

Paysage juste aprés Madrid...vent glacial

Yallah Zid...la voiture est prête pour l'embarquement à Algésiras à côté des routiers d'Agadir.

Le port d'Algésiras ...en saturation de couleur

Pierre Savorgnan de Brazza (1852 - 1905 ) : explorateur de l'Afrique

" L'Afrique (...) rend la paix à qui sème la paix."

C'est en s'inscrivant à l'école navale de Brest que ce voyageur né à Rome découvre le monde lors de missions de la Jeanne d'Arc en Kabylie. Ami de l'écrivain-voyageur Pierre Loti avec qui il fera ses premières armes de marin, mais aussi de Jules Ferry et de Gambetta qui soutiendront ses futures expéditions.